Passer la publicité
Passer la publicité
Réservé aux abonnés

«Les scientifiques cherchent de l’ADN» : le directeur de l’IRCGN se confie au Figaro sur les ossements d’Émile

Dans les environs du Haut-Vernet, où un large périmètre a été bouclé par les gendarmes après la découverte d’ossements du petit Émile, le 30 mars.
Dans les environs du Haut-Vernet, où un large périmètre a été bouclé par les gendarmes après la découverte d’ossements du petit Émile, le 30 mars. CLEMENT MAHOUDEAU / AFP

ENTRETIEN - Au Haut-Vernet, une équipe de l’institut de recherche criminelle de la gendarmerie étudie avec minutie le lieu et les ossements du garçon, retrouvés samedi. Le général de brigade François Heulard raconte comment leur travail s’organise.

Quatre jours après la découverte d’ossements du petit Émile, un épais mystère demeure sur les causes de sa mort. Alors que l’enquête prend un nouveau tournant, le hameau du Haut-Vernet, dans les Alpes provençales, est de nouveau le théâtre de recherches approfondies de la gendarmerie, dont les effectifs nombreux auscultent au peigne fin l’endroit où une promeneuse a découvert la dépouille du garçon de deux ans et demi, lors d’une balade à près de deux kilomètres du domicile de ses grands-parents, le 30 mars. Dépêchés sur place, des anthropologues, entomologistes et légistes de l’Institut de recherche criminelle de la gendarmerie nationale (IRCGN) étudient minutieusement ce lieu escarpé et sauvage, à la topographie complexe. Par leurs technologies et leur travail de pointe, ces scientifiques de l’Institut basé à Pontoise, en Île-de-France, tentent de lever des hypothèses, notamment pour comprendre si le petit garçon est décédé accidentellement, ou par l’intervention d’un tiers. Alors qu’à…

Cet article est réservé aux abonnés. Il vous reste 83% à découvrir.

Vente Flash

1,99€ par mois pendant 6 mois. Sans engagement.

Déjà abonné ? Connectez-vous

Sujet