«Les scientifiques cherchent de l’ADN» : le directeur de l’IRCGN se confie au Figaro sur les ossements d’Émile
ENTRETIEN - Au Haut-Vernet, une équipe de l’institut de recherche criminelle de la gendarmerie étudie avec minutie le lieu et les ossements du garçon, retrouvés samedi. Le général de brigade François Heulard raconte comment leur travail s’organise.
Quatre jours après la découverte d’ossements du petit Émile, un épais mystère demeure sur les causes de sa mort. Alors que l’enquête prend un nouveau tournant, le hameau du Haut-Vernet, dans les Alpes provençales, est de nouveau le théâtre de recherches approfondies de la gendarmerie, dont les effectifs nombreux auscultent au peigne fin l’endroit où une promeneuse a découvert la dépouille du garçon de deux ans et demi, lors d’une balade à près de deux kilomètres du domicile de ses grands-parents, le 30 mars. Dépêchés sur place, des anthropologues, entomologistes et légistes de l’Institut de recherche criminelle de la gendarmerie nationale (IRCGN) étudient minutieusement ce lieu escarpé et sauvage, à la topographie complexe. Par leurs technologies et leur travail de pointe, ces scientifiques de l’Institut basé à Pontoise, en Île-de-France, tentent de lever des hypothèses, notamment pour comprendre si le petit garçon est décédé accidentellement, ou par l’intervention d’un tiers. Alors qu’à…
geraldinej49
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MDR !!! ils cherchent de l ADN on rigole ou on pleure !! puisqu' ils pensent a un accident quel intérêt ?? dépenser des sous et des heures pour rien !!!!
geraldinej49
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comme disait de gaulle : je prefere des trouveurs ... et puisqu ils sont persuadés qu il s agit d un accident c est quoi ce bazar!!! 80 specialistes pour un accident ??? grrrr
Anne-Louise
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Vu ce qu'on arrive à dire du squelette Lucy qui a 3 et demi millions d'années il semblerait facile d'étudier les restes du petit Emile