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Avec DAZN et beIN Sports, la Ligue 1 pousse un ouf de soulagement, les téléspectateurs restent dans le flou

Pour que la Ligue 1 soit commercialisée au juste prix, reste un critère de taille dont il faudrait tenir compte : la qualité du championnat.
Pour que la Ligue 1 soit commercialisée au juste prix, reste un critère de taille dont il faudrait tenir compte : la qualité du championnat. Italyphotopress / Ipp / Icon Sport

La plateforme DAZN, qui remporte 8 des 9 rencontres de chaque journée, aurait évoqué avec la LFP des tarifs allant de 30 euros à 40 euros par mois.

Le football français devait décrocher la lune. C’est finalement le ciel qui lui tombe sur la tête. Il peut toujours se consoler en se disant qu’il a évité le pire : l’écran noir sur le championnat de France, dont la reprise, le 16 août, se rapprochait à grand pas. N’empêche, l’accord trouvé in extremis dimanche soir sur les droits TV de la L1 à l’issue d’un conseil d’administration de la Ligue de football professionnel (LFP), est loin d’avoir déclenché une danse de la joie chez les patrons de clubs. Tout au plus peuvent-ils pousser, à court terme, un ouf de soulagement.

La Ligue a finalement opté pour un ticket entre la plateforme britannique DAZN et la chaîne qatarienne beIN Sports, qui diffuseront les matchs de Ligue 1, au moins pour les deux prochaines saisons, moyennant 500 millions d’euros annuels. DAZN a mis 400 millions d’euros par an sur la table pour diffuser huit des neuf rencontres de chaque journée. BeIN Sports est revenu dans le jeu in extremis pour récupérer le match restant…

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