Thierry Thuillier : «La numérotation très lointaine de LCI est un handicap»
EXCLUSIF - Mercato, bataille de l’audience, regroupement des chaînes d’info sur la TNT… Le directeur général adjoint de l’information du groupe TF1 détaille les chantiers de la rentrée.
Fin juillet, Fabien Namias créait la surprise en annonçant son départ de la tête de LCI pour rejoindre sa concurrente directe BFMTV, en vue de succéder à Marc-Olivier Fogiel, le directeur général de la chaîne. Fin août, LCI s’est trouvé un nouveau patron. La chaîne d’info du groupe TF1 a choisi un journaliste maison, Guillaume Debré, pour reprendre le poste de directeur général.
« Nous avons beaucoup agité le mercato ces dernières années et nous considérons aujourd’hui que nos équipes sont très riches de talents à l’antenne, au management etc. D’où le choix de se tourner vers l’interne, explique Thierry Thuillier, le directeur général adjoint de l’information du groupe TF1.
Guillaume Debré coche toutes les cases pour assumer la fonction de directeur général de LCI. Il est arrivé dans le groupe en 2005 en tant que correspondant à Washington, il connaît bien les équipes. Il a une solide expérience de l’actualité anglo-saxonne et notamment américaine pour avoir…
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Jean-Paul Jorland
le
Ce n'est pas la numérotation le handicap, mais le contenu et la ligne éditoriale. Autre chose que la voix de Kiev par exemple.
anonyme
le
Julian Assange : « Si les guerres peuvent être déclenchées par des mensonges, la paix peut être préservée par la vérité. »… LCI a encouragé scandaleusement la guerre par son traitement partial du conflit ukrainien. D’une certaine manière, on peut dire que les intervenants de LCI ont du sang sur les mains.
anonyme
le
LCI a basé quasi intégralement sa ligne éditoriale sur la guerre en Ukraine avec une partialité qui ne relève pas du journalisme d’investigation. Son audience est captive, c’est une niche et lorsque le conflit va s’achever il va être très compliqué pour la chaîne de se reconvertir. Ce d’autant que tous les intervenants seront sérieusement discrédités par l’issue du conflit et les conséquences économiques sur l’Europe.