Résidence secondaire: tout ce qu’il faut savoir avant d’investir dans la vieille pierre
Petits manoirs, anciens bâtiments publics, religieux ou industriels… Les biens à rénover sont toujours moins chers que ceux à rafraîchir. Mais chaque terroir a ses exigences. Nos conseils pour faire un achat judicieux.
Féru d’architecture et de vieilles pierres, vous rêvez de transformer un bâtiment historique en résidence secondaire? Bonne idée: à surface comparable, un manoir séculaire en pleine campagne vaut souvent moitié moins cher qu’une maison quelconque en bord de mer.
Les demeures de caractère n’ont pas vraiment de définition commune. Seules caractéristiques, «ces maisons sortent de l’ordinaire, elles ont du cachet, ne sont pas standardisées et situées dans un bel environnement», affirme Alexander Kraft, PDG de Sotheby’s International Realty. Sur ce créneau se trouvent des bâtisses typiques régionales (chaumière normande, longère bretonne, bastide provençale, ferme basque, maison vigneronne auvergnate, flamande nordiste, etc.), d’anciens bâtiments professionnels (auberge, filature, moulin…), publics (école, gare, etc.) ou religieux (église désacralisée, monastère, etc.). «Les amateurs de vieilles pierres ont des goûts très éclectiques, certains apprécient des époques de construction, d’autres…
Demain il fera nuit
le
Faut pas jouer à la classe aisée quand on n'a pas les moyens de financer une RS et ses frais récurrents.
anonyme
le
Sans être classé monument historique il est possible pour certains biens anciens, de réaliser des travaux avec la Fondation du Patrimoine et d’obtenir des avantages fiscaux intéressants.
Anonyme
le
Il ne faut pas ! L'IFI vous guette, les charges explosent, les taxes aussi, vous serez perdus dans l'administratif et ce sera un gouffre. Il vaut mieux utiliser l'argent pour des voyages à la campagne.