Une décade et des réformes radicales pour réhabiliter le travail
Le serial entrepreneur Pascal Lorne considère le travail comme un vrai catalyseur de dignité humaine dans son livre 10 jours pour hacker le travail.
Non, la fin du travail prônée par intellectuels et politiques en manque d’idéaux n’est pas pour demain. Et ce n’est pas la crise postcoronavirus qui condamne des dizaines de millions de personnes à l’inactivité qui va y changer quoi que ce soit. Au contraire, estime Pascal Lorne, serial entrepreneur qui a créé Gojob en 2015, plateforme de travail temporaire 100 % digital, le travail est «une valeur de plus en plus décriée» qui «n’a rien de négatif en soi» et qu’il faut réhabiliter d’urgence.
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Et pour cause! Pour lui, «le travail est avant tout un vecteur d’optimisation du potentiel individuel et collectif», solution à part entière «à l’état de crise permanent» de nos économies modernes. À l’opposé de tous les maux que ses détracteurs lui trouvent, le travail est un vrai catalyseur de dignité humaine. «Sans travail, on n’est plus rien», rappelle à juste titre Pascal Lorne. C’est «un vecteur de cohésion sociale et politique» qu’il faut cesser de voir comme «l’ennemi du bonheur». Pour qu’il…
Ravi au lit
le
«le travail est avant tout un vecteur d’optimisation du potentiel individuel et collectif»
Si sur le fond ce monsieur a entièrement raison, le moins que l'on puisse dire c'est que la forme, elle, donne dans le galimatias technocratique.
Dommage !