VIDÉO - La directrice générale de l'institution internationale, en poste depuis 2011, peut compter pour cela sur plusieurs soutiens, à commencer par les États-Unis, premier État actionnaire du FMI.
Dans un entretien à la télévision britannique, l'ancien ministre grec des Finances a pris le contre-pied de son ex-premier ministre, Alexis Tsipras. Yanis Varoufakis estime qu'au regard de «l'état des finances grecques», le nouvel accord signé entre la Grèce et ses créanciers ne «marchera pas».
Le gouvernement allemand se garde encore de se prononcer sur le fond du plan de sauvetage, qu'il compte examiner «minutieusement» dans les prochains jours.
VIDÉO - Dans un récit livré au Monde Diplomatique, l'ancien ministre grec des Finances évoque son amour déchu de l'Europe, une France «qui n'est plus ce qu'elle était» et lance un appel pour qu'aucun peuple n'ait à négocier dans la peur.
Malgré les commentaires parfois peu élogieux, 55 % des Allemands estiment que la chancelière s'est «bien comportée» pendant la crise. Ils sont aussi 62 % à se prononcer pour le maintien de la Grèce dans la zone euro, selon plusieurs sondages.
Dans un entretien à la presse britannique, l'ancien ministre grec des Finances accuse son homologue allemand, Wolfgang Schäuble, d'avoir bloqué les négociations ces six derniers mois. Il explique aussi avoir été lâché par ses équipes en raison de la ligne très dure qu'il suggérait d'adopter face aux créanciers.
Le président français, qui a multiplié les efforts pour parvenir à un compromis entre la Grèce et l'Europe, s'est heurté de plein fouet à l'inflexibilité de la ligne dure menée par l'Allemagne.
RÉCIT - Depuis le référendum grec du 5 juillet, l'UE enchaîne les réunions de crise, Paris et Berlin peinent à s'entendre et Tsipras est poussé dans ses retranchements.
VIDÉOS - Après la victoire du «non» au référendum dimanche, le ministre grec des Finances a annoncé sa démission sur son blog. Flash-back sur un homme qui a révolutionné les codes de la communication, entre un verbe fort et des tweets incisifs.
FIGAROVOX/CHRONIQUE- Pour l'économiste Charles Wyplosz, la crise de la zone euro n'est pas insoluble. Pour la résoudre, il faut que les deux partis montrent un peu plus de pragmatisme.
Alexis Tsipras a obtenu l'aval du Parlement grec pour la tenue d'un referendum sur le plan d'aide européen. Il s'est clairement positionné contre, sans toutefois indiquer vouloir rompre avec l'Union européenne. Sans accord avec ses créanciers, le pays devrait se retrouver en défaut de paiement mardi.
LE DÉCRYPTAGE DE JEAN-PIERRE ROBIN - Après avoir vu le franc suisse, libéré de sa fixité, se réévaluéer de 20 % par rapport à l'euro, Berlin souhaite plus que tout préserver l'existence de la monnaie unique.
Le ministre des Finances n'a pas mâché ses mots ces dernières heures pour répondre à son homologue allemand Wolfgagng Schaüble, qui avait déclaré que «la France serait contente que quelqu'un force le Parlement» pour faire adopter des réformes.
Les dirigeants européens ont accepté de rencontrer Alexis Tsipras en marge du sommet européen qui s'ouvre, ce soir, à Bruxelles. Objectif : éviter un dérapage financier du pays.
Les dépenses de l'État fédéral devraient passer de 302,6 milliards d'euros en 2014 à 332 milliards d'euros en 2019, selon les prévisions présentées mercredi par les ministres des Finances Wolfgang Schäuble et de l'Economie Sigmar Gabriel, qui ont promis en revanche de ne créer «aucune nouvelle dette».
Avec la perspective d'élections générales dès janvier et le parti de la gauche radicale, Syriza, en favori des sondages, l'anxiété est palpable à Bruxelles et à Berlin.
Le rendez-vous des vingt-huit commissaires européens mardi, qui doit se pencher sur le projet de budget 2015 de la France, s'annonce crispé. L'ex-patron de Bercy compte s'expliquer avec Günther Oettinger qui a dénoncé l'Hexagone comme un «récidiviste» du dérapage financier.
Le ministre allemand des Finances, Wolfgang Schäuble, estime dans un entretien croisé avec son homologue français Michel Sapin que le pacte de responsabilité est «le bon chemin» à emprunter pour sortir de cette crise de confiance.
Alors que la Russie légifère pour sanctionner la «réhabilitation du nazisme», l'Allemagne reste empêtrée dans la controverse après un parallèle hasardeux de son ministre des Finances.
Moscou a convoqué l'ambassadeur d'Allemagne après les propos du ministre des Finances, Wolfgang Schäuble, établissant un parallèle entre l'annexion de la Crimée et celle des Sudètes par Hilter en 1938.
Alors que la Grèce doit prendre le 1er janvier la présidence de l'Union européenne pour les six mois à venir, des coups de feu ont été tirés lundi à l'aube, contre la résidence de l'ambassadeur d'Allemagne.
À l'issue d'un long huis-clos à Bruxelles, le ministre allemand des finances Wolfgang Schäuble a annoncé cette nuit avoir «fait beaucoup de chemin», tandis que son collègue Pierre Moscovici évoquait «un accord politique à 95 %».
Berlin n'est pas d'accord. Elle est d'autant plus susceptible sur l'utilisation de l'argent du contribuable que ses partis sont en pleine campagne pour le Bundestag.
Le président suisse, Ueli Maurer, refuse de changer de stratégie fiscale, malgré la pression imposée notamment par l'Union européenne. Seule la «pression intérieure» pourrait amener le pays à revoir sa position, répond-il.
CHRONIQUE - Le Japon repart à l'offensive pour faire baisser le yen, et l'euro est le premier à en faire les frais. Un handicap de plus pour nos exportateurs.
La chancelière allemande appelle ses concitoyens à la «patience» et au «courage» dans ses voeux pour la nouvelle année. Elle estime que la crise de l'euro est «loin d'être surmontée».
Après 14 heures de discussions, les ministres des Finances des 27 ont scellé un accord sur la supervision unique des banques de la zone euro, et non plus nationale. Confiée à la BCE, cette supervision intégrée sera effective en mars 2014.
Après 14 heures de discussion, les créanciers d'Athènes se sont entendus sur des mesures permettant de ramener sa dette à un niveau soutenable d'ici dix ans, tout en évitant de parler d'effacement. Ils ont aussi débloqué 44 milliards d'aide.
La chancelière et son ministre des Finances Wolfgang Schäuble sont accusés de vouloir repousser l'inévitable faillite par tous les moyens, quitte à provoquer des conséquences fatales pour l'économie grecque.
VIDÉO - À la veille de l'Eurogroupe, le gouvernement Samaras a fait voter dans la nuit le budget 2013. Les économies qu'il prévoit devraient permettre au pays d'obtenir une aide cruciale de 31,5 milliards d'euros. La grogne sociale monte.
La Grèce doit impérativement faire voter un programme d'austérité de 11,5 milliards d'euros pour obtenir, avant le 16 novembre, une tranche d'aide de 31,2 milliards d'euros.
L'Allemagne exige la création d'un poste de super-ministre européen des Finances. Et conditionne son aide à la Grèce à une révision des traités en 2013.
VIDÉO - Le pays recevra dès la fin du mois un premier versement de 30 milliards d'euros pour recapitaliser ses banques. Les ministres des Finances de la zone euro ont reconduit Jean-Claude Juncker à la tête de l'Eurogroupe.
Alors que certains pays souhaitent adoucir le programme d'austérité de la Grèce, en vue des élections, le ministre allemand des Finances a jugé qu'on «ne pouvait pas renégocier».
Les banques participant à l'échange de dette grecque vont recevoir une aide. Fitch a pour sa part dégradé la note de la Grèce à «défaut partiel». Le FMI propose quant à lui un nouveau prêt de 28 milliards d'euros.
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