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Jean-Pierre Robin: «Tel un canard sans tête, Macron continue à courir»

Hors Jeux olympiques, l’activité diplomatique officielle du chef de l’État n'a jamais été aussi intense.
Hors Jeux olympiques, l’activité diplomatique officielle du chef de l’État n'a jamais été aussi intense. ALAIN JOCARD / AFP

ANALYSE - Avec son exécutif bicéphale, le système nerveux de l’État français permet lui aussi de garder une certaine mobilité tout en étant amputé de son gouvernement.

On ne voit et n’entend que lui. Il a le don d’ubiquité et son agenda est rempli comme un œuf. « Je proclame ouverts les Jeux de Paris célébrant les 33es  Olympiades des temps modernes » a-t-il déclaré le 26 juillet au Trocadéro sous une pluie battante. De même Emmanuel Macron a présidé la cérémonie de clôture, le 11 août, au Stade de France, à Saint-Denis.

Les JO ont été l’occasion de multiplier les rencontres avec les chefs d’État venus à Paris, le président argentin, Milei, et son homologue israélien, Herzog, entre autres. « Un déjeuner attractivité » (sic) a été organisé au Palais de l’Élysée, réunissant les grands patrons internationaux présents pour les Jeux. Ce fut par ailleurs la possibilité de bains de foule savamment planifiés pour accompagner les victoires françaises.

Hors Jeux olympiques, son activité diplomatique officielle n’a jamais été aussi intense. Entretiens téléphoniques quotidiens avec les partenaires étrangers, du premier…

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