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Maxime Le Forestier a vaincu la rouille...

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Maxime Le Forestier a vaincu la rouille...

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Il est l'auteur de tubes inoxydables, dont "la Maison bleue", qui est aujourd'hui rééditée. Retour sur la carrière de ce chanteur-compositeur à la musique et aux vers qui résistent si bien au temps...

Pour le grand public, Maxime Le Forestier est l'heureux propriétaire d'une maison bleue et d'une carrière sans bleus à l'âme. S'agissant de la célèbre maison accrochée à la colline de San Francisco, il doit bientôt y retourner pour ripoliner la légende, car un paltoquet l'a repeinte en vert. Quant à ce qu'on retient de sa carrière, cela ressemble à un article de Wikipedia : truffé d'approximations. Dans un livre d'entretiens, Né quelque part (1), où il fait partager son amour du métier et sa passion pour le cheval, il essaie de corriger quelques idées reçues qui circulent sur lui. S'il a fait la première partie de Georges Brassens, ce n'est pas grâce à la bienveillance du prince de la chanson, mais, plus prosaïquement, en raison des hasards de la programmation. En ce temps-là, c'étaient les patrons de salle qui imposaient les premières parties. Il est tombé par hasard sur Brassens, un bel exemple à suivre. Puis à interpréter.

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Natacha Polony, directrice de la rédaction de Marianne