DÉCRYPTAGE - Depuis la dissolution surprise de juin dernier, les responsables politiques se préparent à tous les scénarios, y compris un scrutin anticipé.
Invité du « Grand Jury RTL-Le Figaro-Public Sénat-M6 », le patron du MoDem a jugé « ni possible ni souhaitable » la présence de ministres RN dans un gouvernement élargi.
Dans un entretien à La Tribune Dimanche, Marine Le Pen a regretté «des propos tenus par certains» sur le nouveau premier ministre, sans nommer le député RN de la Somme.
À peine ses valises posées à Matignon, le nouveau premier ministre doit désormais s’atteler à composer son équipe, avant de reprendre de nombreux dossiers laissés en suspens.
Candidat à la primaire de la droite en 2022, le désormais premier ministre ne s’était pas montré tendre avec le chef de l’État, qui n’avait selon lui pas «bien gouverné le pays» au sortir de son premier quinquennat.
RÉCIT - En plein cœur de la crise politique, l’ancien premier ministre a pris de court ses proches en s’élançant prématurément dans la course à l’Élysée, tout en se disant prêt à une présidentielle anticipée.
DÉCRYPTAGE - Au cinquantième jour sans gouvernement de plein exercice, le chef de l’État entame ce mercredi un quatrième tour de consultations avec les forces politiques.
DÉCRYPTAGE - Condamnés à l’attente depuis un mois et demi, certains membres du gouvernement se verraient bien retrouver leur ministère, ou même un autre portefeuille.
DÉCRYPTAGE - Le chef de l’État recevra ce lundi François Hollande, Nicolas Sarkozy et Bernard Cazeneuve, avant de désigner un nouveau premier ministre en début de semaine.
Invitée ce dimanche du « Grand Jury-RTL-Le Figaro-M6-Public Sénat », la finaliste de la présidentielle de 2007 se dit toujours «disponible» pour Matignon, et épingle l’ancien socialiste, qui sera reçu lundi par Emmanuel Macron.
DÉCRYPTAGE - Après la parenthèse insouciante et festive de Paris 2024, la pression s’accentue sur Emmanuel Macron, toujours à la recherche d’un premier ministre. Mais aucune solution claire ne se dégage.
RÉCIT - Après avoir décroché une médaille aux Jeux olympiques, sept anciens athlètes ont été propulsés au ministère des Sports sous la Ve République.
Sans gouvernement ni majorité, l’ombre de nouvelles législatives dans un an plane dans les esprits des députés fraîchement élus et des candidats battus.
Longtemps délaissé, ce concept a retrouvé des couleurs à la faveur du bon score de Raphaël Glucksmann aux européennes puis du retour de François Hollande.
RÉCIT - Dans un pays sans gouvernement et entièrement tourné vers les JO, les édiles ont le sentiment d’être une nouvelle fois laissés pour compte par Paris.
Le leader insoumis reconnaît avoir été «happé» par le grand spectacle, mais regrette des passages «moins bons» comme celui de la reine Marie-Antoinette décapitée et de la parodie de la Cène chrétienne.
DÉCRYPTAGE - Après une interminable séquence électorale, la course à Matignon s’interrompt le temps des JO.
RÉCIT - Alors que les discussions patinent à gauche depuis deux semaines, les socialistes poussent pour un consensus autour d’une personnalité issue de la société civile.
PORTRAIT - Après plus de trente années passées au Palais Bourbon, l’inoxydable centriste entend s’imposer comme le plus petit dénominateur commun entre les trois blocs pour accéder au perchoir.
ANALYSE - Alors qu’aucune majorité claire ne se dégage, la classe politique française se retrouve contrainte de bâtir des compromis pour sortir de l’impasse.
La moyenne d'âge de cette nouvelle législature est de 49 ans et 2 mois, une légère augmentation par rapport à la précédente Assemblée. La parité recule, et les cadres et professions intellectuelles restent largement surreprésentés.
Attendue mardi, la démission du gouvernement va précéder le début de la 17e législature et la redéfinition des rapports de force parlementaires dans l’Hémicycle.
Alors que le président de la République a accepté la démission de Gabriel Attal, les ministres sortants restent en poste jusqu’à la nomination d’une nouvelle équipe.
DÉCRYPTAGE - Alors qu’aucune majorité claire ne se dégage, n’importe quel premier ministre serait à la merci des députés, qui pourraient le renverser.
Alors que le Nouveau Front populaire revendique de gouverner après sa victoire relative aux législatives, Marine Le Pen et Jordan Bardella ont tracé jeudi soir la ligne officielle du parti nationaliste.
DÉCRYPTAGE - Parmi les dix-sept ministres élus députés dimanche soir, plusieurs espèrent encore rebondir en décrochant un poste stratégique dans l’Hémicycle. Mais ils pourraient être écartés d’office de la course.
DÉCRYPTAGE - Les résultats du second tour plongent le pays dans l’inconnu avec un Hémicycle éclaté en trois blocs, rendant la constitution d’une majorité difficile.
Reconduit sans discontinuité depuis plus de trente ans, le doyen en longévité de l’Assemblée nationale réussit de peu (50,4%) à conserver son siège face au candidat RN, Thierry Besson (49,58%).
La majorité des membres du gouvernement retrouveront les bancs de l’Assemblée nationale, quand deux d’entre eux ont échoué dimanche soir à conserver leurs sièges.
Confronté à une triangulaire, le député sortant, parti sans l’étiquette LR, l’a emporté face à la candidate de la gauche unie, Elsa Bougeard et celle du Rassemblement national, Slavka Mihaylova.
Après la défaite du parti nationaliste au second tour des élections législatives, devancé par le NFP et le camp présidentiel, la double-finaliste de la présidentielle y voit malgré tout «les ferments» de «la victoire de demain» pour sa famille politique.
Le premier ministre en sursis a été réélu avec plus de 60% des voix selon des résultats partiels face à la candidate socialiste du NFP, Cécile Soubelet.
La sœur aînée de Marine Le Pen perd de justesse (49,77%) dans l’ancien fief de François Fillon face à la députée sortante insoumise du NFP, Élise Leboucher (50,23%).
Après l’échec du Rassemblement national, qui arrive selon les premières estimations derrière l’union des gauches et le camp présidentiel, l’héritier de Marine Le Pen a étrillé le «parti unique qui s'étend de Philippe Poutou à Édouard Philippe».
À l’issue du second tour des élections législatives, Emmanuel Macron pourrait choisir de prendre son temps pour nommer un nouveau premier ministre.
DÉCRYPTAGE - Pour contrer la poussée du Rassemblement national, les deux autres blocs se sont désistés dans les triangulaires. Ils doivent maintenant convaincre leurs électeurs de se mobiliser.
ENTRETIEN - Pour le directeur d’études à Ipsos France, la multiplication des triangulaires à l’issue du premier tour pourrait s’avérer «handicapante» pour le bloc nationaliste, en raison des «désistements républicains».
Comme aux élections européennes, le parti à la flamme enregistre une poussée historique sur l’île et réussit pour la première fois à se hisser au second tour dans toutes les circonscriptions.
Investi par le Parti socialiste, le député sortant avait refusé d’endosser la bannière du Nouveau Front populaire. Il affrontera au second tour la candidate du RN, Natacha Goupy, après le retrait de Hella Kribi-Romdhane sous les couleurs de Génération.s.
Le député LFI sortant s’est qualifié pour le second tour et affrontera le candidat soutenu par Marion Maréchal. Le macroniste Loïc Signor, arrivé troisième, se maintient
Malgré de bons résultats dans cet ancien bastion macroniste, le parti nationaliste (27,76%) arrive derrière la gauche unie (29,46%) et le camp présidentiel (29,76%) au niveau régional. Le RN parvient néanmoins à propulser au second tour des candidats dans toutes les circonscriptions, sauf une.
Le premier ministre qui a mené la campagne de la majorité réussit à se qualifier pour le deuxième tour. Il affrontera le candidat du Nouveau Front populaire.
À l’issue du premier tour des élections, plusieurs membres du gouvernement se retrouvent dans des positions délicates, pris en tenaille dans des triangulaires.
Investi sous la bannière du Nouveau Front populaire , l’ancien président de la République devance, selon les premiers résultats partiels, la candidate RN et le candidat LR, soutenu par le camp macroniste.
L'ex-socialiste tombé pour fraude fiscale ne verra pas le second tour. Avec 14,56%, selon les premières estimations, l’ancien ministre de François Hollande est devancé par la candidate RN, Annick Cousin, largement en tête.
Après le raz-de-marée du RN (33,5%) au premier tour, les forces politiques ont donné leurs premières consignes de vote à leurs électeurs avant le second tour du 7 juillet prochain.
Le député sortant du Lot est qualifié pour le deuxième tour. Il devance la candidate du Nouveau Front populaire, Elsa Bougeard.
DÉCRYPTAGE - Selon les estimations de l’Ifop, le taux de participation au premier tour des élections législatives serait de 66,71%. Soit presque 20 points de plus qu’au dernier scrutin de 2022 (47,7 %).
RÉCIT - Provoquée par la dissolution surprise de l’Assemblée, la campagne éclair qui s’achève a été marquée par une série de rebondissements inédits.
Sur fond de forte mobilisation attendue dimanche, le camp Macron craint un échec historique au profit du RN et du Nouveau Front populaire.
DÉCRYPTAGE - Alors que le vote électronique des expatriés s’est achevé ce jeudi midi, plusieurs de ces bastions longtemps acquis au chef de l’État se sont massivement détournés de lui aux européennes.
DÉCRYPTAGE - Alors qu’Emmanuel Macron accuse les projets de ses adversaires d’être «irresponsables», le RN et le Nouveau Front populaire tentent de rassurer les Français.
Dans un long courrier relayé par la presse quotidienne régionale, le chef de l’État se place en «protecteur de chaque instant de la République», à une semaine du premier tour des élections législatives anticipées.
SONDAGE - La dernière vague de l'étude Ifop-Fiducial pour Le Figaro, LCI et Sud Radio révèle un léger recul des troupes macronistes, à moins d’une semaine du premier tour des élections législatives anticipées.
Invité du «Grand Jury RTL-Le Figaro-M6-Paris Première», le premier ministre en sursis a estimé que le camp présidentiel était le plus «en dynamique» dans les sondages, à une semaine du premier tour des élections législatives, dimanche 30 juin.
REPORTAGE - Dans la cité industrielle, où plus de la moitié de la population n’avait pas voté au scrutin européen, de nombreux abstentionnistes assurent qu’ils glisseront un bulletin dans les urnes aux élections législatives du 30 juin et 7 juillet prochains.
DÉCRYPTAGE - Si aucune majorité absolue ne se dégage au soir du second tour des élections, le 7 juillet prochain, le pays pourrait plonger dans une crise politique majeure.
INFOGRAPHIE - Gabriel Attal et plus de la moitié de son gouvernement se présentent aux élections législatives anticipées du 30 juin et 7 juillet prochains.
Sur le plateau du «Grand Jury-RTL-Le Figaro-M6-Paris Première», le maire RN de Perpignan juge que «l’inquiétude» se situe du côté de «Jean-Luc Mélenchon». La ministre déléguée à la Consommation, Olivia Grégoire, votera quant à elle «blanc» en cas de duel entre le RN et le Front populaire.
L’eurodéputé socialiste a rejeté l’offre de service de Jean-Luc Mélenchon, qui s’est dit «capable» de devenir premier ministre en cas de victoire de l’union des gauches.
Opposé à l’idée d’une «alliance» avec le parti à la flamme, l’eurodéputé LR a assuré ce jeudi qu’il ferait tout «pour empêcher que La France insoumise n’arrive au pouvoir».
Après l’annonce d’une «alliance» avec le RN, le patron contesté du parti a engagé un bras de fer avec les ténors de la droite, qui l’ont exclu de la formation. La justice pourrait néanmoins décider de trancher l’affaire la semaine prochaine, soit après le dépôt officiel des candidatures.
Engagé dans un bras de fer avec les ténors de son parti, qui veulent l’exclure, le président des Républicains s’en remet à la base pour tenter de remporter le rapport de force.
Le patron des Hauts-de-France veut soumettre l’idée d’une alliance avec le parti à la flamme aux militants, alors que les ténors de la droite se réunissent ce mercredi pour décider de l’avenir d’Éric Ciotti à la tête de LR.
Après le coup d’éclat de la dissolution de l’Assemblée nationale, annoncée dimanche soir, le chef de l’État a renvoyé dos à dos des «alliances indécentes» entre le RN et LR, comme entre la gauche et les Insoumis.
SONDAGE - La dernière vague de l’étude Odoxa-Backbone Consulting pour « Le Figaro » révèle que les Français entendent « faire barrage » au camp Macron autant qu’à Marine Le Pen.
DÉCRYPTAGE - Alors que le Rassemblement national pourrait se retrouver en première ligne lors des JO, l’organisation ne devrait pas en être perturbée.
DÉCRYPTAGE - À moins de vingt jours des élections législatives qui auront lieu le 30 juin et 7 juillet prochains, les députés sortants doivent affronter une montagne administrative, tout en battant campagne.
À vingt jours des élections législatives anticipées qui se dérouleront le 30 juin et 7 juillet prochains, le ministre de l’Intérieur a livré les premières consignes aux préfets, en charge du bon déroulé du scrutin.
