«Le vaccin et la liberté»
L’éditorial du Figaro, par Vincent Trémolet de Villers.
La peur, cette mauvaise conseillère, désarme les individus, désoriente les peuples. Depuis l’apparition de ce maudit virus, elle règne sur les esprits, les décisions, les convictions. Ainsi, les pouvoirs publics, par crainte du juge, de l’opinion (plus parfois que de la maladie) ont pris, au départ, des précautions disproportionnées (confinements prolongés, masque en extérieur, etc.). En regard, une partie des citoyens a développé un esprit de soupçon qui la rend hermétique à toutes décisions politiques et scientifiques. Au point de considérer le remède - le vaccin - comme un poison d’État.
Il en résulte des situations absurdes - des personnels de santé qui contaminent ceux qu’ils soignent -, des paradoxes inquiétants - un État capable d’enfermer une société entière en quelques heures, mais qui tergiverse pendant des semaines pour imposer l’obligation vaccinale à certaines catégories de la population (soignants, personnes vulnérables). L’État, en quelque sorte, murmure maternellement «restez…
l'oeil13
le
On voit les limites de la Liberté,
Une dictature sanitaire s'impose, la vaccination doit être obligatoire pour tous..
Chrétien gaulliste populiste et fier de l'être
le
monsieur Trémolet si vous étiez honnête vs reconnaîtriez l'écrasante responsabilité d'un "peuple"VEULE ET DECEREBRE et de médias tout aussi crétinisés dans ce vaste cirque hystérique : :tout le monde n'est pas lâche ,déneuroné, et irrationnel- même s'ils sont "hyper"minoritaires-,, en france!!
opinionlucyves
le
Excellent éditorial, n'étant pas un aficionado de la vaccination, j'ai choisi dès que possible en fonction de mon âge de me faire vacciner.
Ceux qui refusent se mettent en dehors de la société.