POUR

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    En france

    Martine Aubry, première secrétaire du PS Elle se dit « favorable à ce que l'on poursuive le chemin de la Turquie vers l'Europe, même s'il est loin d'être encore terminé ».

    Michel Rocard, ancien Premier ministre socialiste Pour lui, qui a écrit un plaidoyer pour l'intégration de ce pays (« Oui à la Turquie »), l'avenir de l'Europe passe par la Turquie. Il souligne notamment l'intérêt économique d'une telle adhésion.

    Marie-George Buffet, secrétaire nationale du PC Les communistes sont d'accord par principe avec l'intégration, « car c'est quelque chose qui a été préparé depuis 1963, mais il faudra des progrès décisifs de la part de ce pays ».

    Daniel Cohn-Bendit, député européen Vert « Je veux accomplir le rêve du Bosphore », déclare régulièrement l'eurodéputé. Les Verts attendent des efforts de la Turquie mais insistent sur la nécessité que l'Union tienne parole.

    A l'étranger

    A l'étranger Barack Obama, président des Etats-Unis Il voit dans l'entrée de la Turquie dans l'Union européenne « un signal important » lancé au monde musulman.

    Gordon Brown, Premier ministre britannique Il souligne l'importance qu'il y a « à rapprocher l'Europe de la Turquie ».

    Hans Blix, ministre suédois des Affaires étrangères Il insiste pour que les négociations débouchent sur une adhésion pleine et entière.

    Silvio Berlusconi, président du Conseil italien Il a exhorté, en décembre 2008, l'Union européenne « à accélérer les négociations d'adhésion de la Turquie », prévoyant « d'ouvrir des négociations sur 4 chapitres en un an ».

    José Luis Zapatero, Premier ministre espagnol Partisan décidé de l'adhésion de la Turquie à l'Union européenne, il a promis son « soutien continu » à son homologue turc, Recep Tayyip Erdogan.