Voici nos voeux pour les Parisiens

En ce premier jour de l'année, il est de coutume de formuler des voeux. Le monde du football ne déroge pas à la tradition. Voici les nôtres pour les joueurs et l'entraîneur du PSG.

Voici nos voeux pour les Parisiens

    Le meilleur attend peut-être le PSG, 4 e de Ligue 1, en 2009. On a imaginé un scénario idyllique pour les joueurs titulaires et leur entraîneur. A ce petit jeu du football-fiction, basé toutefois sur des éléments avérés et tangibles, le résultat obtenu ne manquerait pas d'allure.

    Landreau. Sur sa lancée, il continue à multiplier les arrêts décisifs.

    A tel point qu'en mai Raymond Domenech en vient à dresser le constat suivant : « Je n'aurais jamais dû l'écarter de l'Euro. »

    Ceará. A 28 ans, il réalise enfin son rêve, celui d'être convoqué en sélection brésilienne. Il devient la doublure de Douglas Maicon, joueur de l'Inter Milan.

    Camara. Il retrouve sa constance et s'impose comme le maillon fort de l'arrière-garde parisienne. Mieux, il se découvre une âme de leader naturel et devient vice-capitaine du PSG.

    Traoré. Il confirme l'excellent automne qui lui a permis de recueillir les faveurs du Parc des Princes. Sa récompense ne devrait d'ailleurs pas tarder, il doit bientôt prolonger son contrat de deux ans avec Paris.

    Armand. Il maintient le niveau qui lui a valu d'être courtisé par Lyon il y a deux ans. A la fin de la saison, il est désigné par ses pairs meilleur latéral gauche de L 1.

    Sessegnon. Déjà auteur de quatre passes décisives (à deux longueurs de Kevin Gameiro de Lorient, actuellement premier du classement), il termine meilleur passeur de Ligue 1.

    Makelele. Son aura sur le groupe ne se dément pas. Rassuré sur sa condition physique, l'ex-international, alors âgé de 36 ans, décide de lever la seconde année de contrat qu'il a en option avec le PSG.

    Clément. Il se découvre une qualité insoupçonnée, celle de buteur. Pour l'instant, il n'a trouvé que deux fois le chemin des filets en 98 matchs de L 1.

    Rothen. Auteur, comme il l'avoue lui-même, de cinq premiers mois en demi-teinte, il redresse la barre et se montre à nouveau déterminant sur son côté gauche.

    Giuly. Associé à Hoarau, il retrouve une seconde jeunesse. Son explosivité fait les délices du Parc des Princes. Raymond Domenech doit se rendre à l'évidence. Après plus de trois ans d'absence, Giuly retrouve les Bleus.

    Hoarau. Déjà auteur de onze buts, il ne faiblit pas pour finir meilleur buteur de L 1. Il s'impose, ainsi, comme le digne héritier de Pauleta, le dernier Parisien à avoir obtenu cette récompense en 2007.

    Le Guen. Son équipe termine sur le podium et se qualifie pour la Ligue des champions. Les dirigeants parisiens décident alors de le prolonger à la tête du PSG.