Facebook nouveau bug, nouveau scandale, la class action de TA est plus que jamais d'actualité !

L'annonce de ce 14 décembre d'un nouveau bug exposant des millions de titutaires de comptes Facebook à des utilisations abusives de leurs données (notamment des photos rendues disponibles) conforte Test Achats dans son action. Le scandale Cambridge Analytica, toujours impuni, n'a donc servi à rien. Test Achats ne peut que confrmer sa volonté, via la Class Action, d'obtenir une compensation de 200 € pour chaque utilisateur inscrit à l'action. Ces derniers éléments seront naturellement joints à l'argumentation de l'action en cours.

Cela démontre une fois de plus que Facebook ne respecte pas les utilisateurs et ne prend pas les mesures nécessaires en terme de sécurité et de protection du consommateur. Pire, Facebook demande aux utilisateurs de prendre les mesures eux-mêmes pour tracer les fuites et vérifier l'atteinte à ces données rendues publiques à l'insu de leur propriétaire via des applications. 

Ce dernier épisode malheureux confirme également que ce n’est que la partie émergée de l’iceberg et que le  partage de données est une pratique générale de la part du réseau social. Test Achats, ainsi que ses organisations sœurs italienne, portugaise et espagnole, veulent que les consommateurs redeviennent maîtres de leurs données et qu’ils soient indemnisés quand celles-ci sont utilisées abusivement. C’est la raison pour laquelle ces organisations de consommateurs ont décidé d’introduire une action collective contre Facebook dans ces 4 pays. Elles estiment le dommage des utilisateurs à au moins 200 € par personne et le réclament à Facebook ! Les consommateurs peuvent donc plus que jamais rejoindre la Class Action sur www.testachats.be/actionfacebook.

L'action de Test Achats a déjà fait l'objet d'une première audience d'introduction le 29 octobre dernier et suit son cours. Elle a également reçu le renfort d'une décision historique de l'autorité de protection du consommateur italienne sous la forme d'une amende de 10 millions d’euros pour fausse gratuité et pratique commerciale abusive dans l'utilisation des données.